23 février 2007
The Popo + Nine Inch Nails
au Zénith à Lille
Cela y est ! Nous sommes enfin le 23 février, jour que j'attendais avec impatience depuis des mois.
Ma place m'attendait depuis novembre dans une belle enveloppe dans ma chambre.
L'horaire de mon train en direction de Lille est arrivé. Je monte donc dans le train à Caudry, où à Cambrai je crois Natasha et un de ses amis. Quelques minutes plus tard, j'étais enfin à Lille à quelques heures du concert.
Je rejoinds Audrey que je n'avais pas vu depuis novembre, puis nous rejoinons Nalex dans un café près de chez Audrey. Le temps de se raconter notre vie et de boire un coup, nous rentrons chez Audrey pour manger un morceau et se préparer.
Le temps de parler à Faust qui avait vu le groupe à l'époque où NIN avait joué avec Atari Teenage Riot, je commence à lui avouer ma peur en ce qui concerne le show de ce soir. Déjà, je ne suis pas emballée par la première partie, (peut être que j'ai été trop habituée à voir sur les affiches de NIN 'Joue avec The dresden dolls / Atari Teenage Riot') le son me fait peur aussi, ayant été déçue dans le passé et puis avons le, le Zénith n'a pas une grande réputation en ce qui concerne le son et ma dernière peur est que NIN joue beaucoup de nouveaux titres et en oublie les meilleurs qui sont, je trouve, la plupart des vieux titres.
Le temps de partir et de se diriger en direction du Zénith avec Audrey, nous arrivons pile en plein milieu du dernier titre de The Popo. Groupe qui semble être dans le même jus que les nouveaux groupe de Rock n' roll, avec un côté assez péchu. Mais que pourrais - je vraiment dire sur eux, vu que j'ai raté l'entiereté de leur show?
Quelques minutes passent. Audrey et moi cherchons en vain des têtes connues. Mais bizarrement, on ne voit personne. Je décide d'appeler YannoussS et c'est par hasard que l'on arrive enfin à se croiser.
On prend le temps de parler du show de Paris, show dont il a été chanceux de voir et de vivre la veille. Apparemment, le concert de Paris était encore plus meilleur que le concert de Paris qui avait eu lieu avec The dresden dolls il y a 1 an et demi. Je suis impatiente. J'attends cela depuis des années, les ratant à chaque fois pour des histoires d'écoles et autres.
Les lumières s'éteignent. Je me souviens avoir vu la fumée et la musique commencée en même temps que mes yeux cherchaient à voir mes idoles sur scène, mais ce dont je me souviens le plus, c'est le deuxième morceau qui dès la première note m'a rendue complètement euphorique, c'était cette fameuse chanson: SIN! J'avais l'impression d'écouter 'And all that could have been' dans le sens où il y avait le même genre d'intro, la même pêche et le même renouveau qui avait été effectué dans le live.
Nous avons eu le droit à un set de malade, comment expliquer? Moi qui avait peur, tout comme Audrey, d'avoir que des nouveaux morceaux, au contraire, Trent and co nous ont sortis que les grands titres tels que Sin, The reptile, Head like a hole, Wish (avec le petit instant de pause en début du morceau), La mer, March of the pigs, Down in it, sans oublier aussi le grand titre Closer (connu de tout le monde par le film 'Seven'), mais aussi The hand that feeds (de With teeth), Trent nous offrira un nouveau titre de l'album qui est en préparation qui me semblera meilleure en live que sur leur myspace..., Burn de la Bo du film 'Tueur né' (Chanson pendant laquelle j'appelerai mon frère pour lui faire partager cet instant de bonheur), terrible lie, Gave up, et bien sur Hurt, chanson qui a tiré quelques larmes aux yeux, me faisant penser à quelqu'un. (et j'en oublie des titres) 1H3O / 2H de show où une folle ambiance était présente dans la salle. Jamais je n'avais vu un public aussi receptif de ma vie, certes les gens chantent pendant les concerts et on les entend, mais là tout le monde chantait et une sorte d'écho à Trent était formé. Jeu de scène simple mais qui correspondait bien au groupe. Trent bougait à son habitude, le gratteux était surexité et bougait dans tout les sens sur la scène, jusqu' à ce mettre la tête à l'envers et continuer à jouer. Le son était d'un qualité plutot étonnante, assez normale au final, le Zénith offre un son froid, son qui allait très bien pour NIN. Trent dit qu'il est bien ici. Normal, le public le rendait bien et eux aussi en nous offrant un set de malade, sans parler de l'ambiance et du décor qui rendait le tout intime. (Les lampes qui s'allument à la made in us et qui tournent autour des musiciens)
Tout était bien, trop bien. Le seul point négatif entre guillement serait peut être que parfois, nous avions l'impression d'écouter un Cd et non d'être en concert, tellement le son était parfait. Oui, nous étions comme dans le live 'And all that could have been'
La fin fut brutale. Pas de rappel proprement dit, une fois le show finit, le show est fini et les lumières se rallument laissant le public perplexe mais pas grave, nous sommes tous sortis de la en se disant: "Putain de concert"!
Dehors, distribution de flyers pour le Dark Fest, regard pour trouver Justine et quelques potes présents. On rejoint Nalex et sa copine, puis YannoussS et co nous rejoignent et les bavardages sur la qualité du concert commencent.
On décide de se séparer pour aller boire un verre au Golden avec Audrey, histoire de voir comment est devenue la boite, puis on rejoint Nalex aux Rêves d'Herbert. 15 minutes plus tard, direction chez Faust pour raconter la soirée et le concert, le sourire aux lèvres!
Et oui, je ne suis pas allée au tour bus, sachant qu'il est très dur de rencontrer Trent et ses compagnons. D'après une source (n'est ce pas Justine! lol grrrr) j'ai rien raté. Personne n'est sorti.
Désolée, pour ce report il n'y aura pas de photos. J'avais demandé un pass, mais ma demande a été refusée.